Quels sont les jobs accessibles avec un Working Holiday Visa ?
Travailler en Australie, en Nouvelle-Zélande ou au Canada vous fait rêver ? Rien de plus facile grâce au Visa Vacances Travail, aussi appelé Working Holiday Visa, une solution idéale pour découvrir de nouveaux horizons sans vous ruiner. A quels jobs pouvez-vous avoir accès ? Languages and Travel, agence de séjour linguistique à Bruxelles, fait le point sur la question.
A chaque destination, ses particularités. Mais s’il y a bien un point commun entre l’Australie et le Canada, c’est qu’ils sont tous deux victimes de leur popularité. Très attractifs en raison du cadre de vie sur place, ces deux pays mènent donc une politique d’immigration dite contrôlée. A tel point qu’il devient très difficile de pénétrer le marché de l’emploi en dehors du Visa Vacances Travail (exception faite des postes sur lesquels le pays connaît de réels besoins dans certains secteurs d’activité en pénurie).
Fruit picking, tourisme, Horeca, vente
Dans la pratique, les voyageurs qui détiennent un visa vacances travail trouvent majoritairement des emplois saisonniers où le manque régulier de bras se fait sentir. Si en Nouvelle-Zélande la politique d’immigration s’avère plus souple et la recherche de main d’œuvre moins ciblée, la concurrence se fait également de plus en plus rude. La raison ? L’augmentation du nombre de jeunes se dirigeant vers « le pays du long nuage blanc » pour combler le manque d’opportunités ailleurs. Les jobs accessibles avec le Working Holiday Visa restent sensiblement les mêmes quelle que soit la destination. Vous les trouverez la plupart du temps dans les domaines suivants :
• les récoltes agricoles aussi appelé le « fruit picking » (surtout en Australie et Nouvelle-Zélande)
• le tourisme : hôtels, lieux de visite, etc.
• l’horeca : bar, restaurant
• la vente par correspondance ou la vente en magasin
Au niveau des fonctions à proprement parlé, voici quelques exemples de jobs les plus accessibles : vendeur, mission en service clientèle, barman ou plongeur, serveur, commis de cuisine ou en salle, cueilleur de fruits ou assistant de ferme, livreur, manutentionnaire, ouvrier du bâtiment, entretien ménager, entretien ménager, babysitting, etc. (liste complète disponible sur demande)
Il s’agit globalement d’emplois à faible valeur ajoutée, qui exigent pour certains un minimum de condition physique, de la flexibilité en terme de disponibilité mais aussi, peu de qualifications professionnelles.
Travailler en VVT dans les villes ou en campagne ?
Dans les villes il est parfois plus difficile de trouver du travail, fort du caractère concurrentiel du marché de l’emploi en zone urbaine. La Job assistance que nous proposons est alors un véritable atout pour parer à d’éventuelles obstacles si vous souhaitez absolument travailler par exemple à Sydney, Melbourne, Auckland, Toronto ou bien Vancouver. L’Australie a notamment signé l’accord de VVT/PVT avec près de vingt pays dont l’Allemagne ou le Royaume Uni ou le Canada et les jeunes en provenance de ces destinations parlent souvent bien anglais pour la plupart ou sont mêmes parfaitement anglophones. Un coup de pouce de notre partenaire sur place vous sera d’une grande utilité.
Exercer dans le domaine de ces études ?
Le working holiday limite la durée maximale de travail chez un même employeur à 6 mois en Australie. De quoi pousser les VVtistes à bouger régulièrement. Si cela peut décourager bon nombre d’employeurs de secteurs non saisonniers, cela n’affecte en aucun cas l’horeca, le fruit picking ou les établissements touristiques, habitués à voir défiler des jeunes du monde en entier n’ayant qu’une perspective : travailler mais surtout voyager. Enfin, sachez que pour œuvrer dans votre domaine de formation et tenter de résider à long terme dans l’un de ces trois pays, l’histoire est tout autre. Il vous faudra alors trouver un sponsor, c’est-à-dire un employeur souhaitant vous recruter. Celui-ci devra dans la plupart des cas justifier qu’il ne peut trouver les mêmes compétences chez les autochtones. Ce qui décourage la plupart d’entre eux à se lancer.
Au final, le Visa Vacances Travail reste un excellent moyen de découvrir un pays, de nouer des contacts sur place pendant un an voire plus et réussir à convaincre de futurs employeurs de vous employer si vous comptez bien prolonger l’aventure !
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